Olivier Cellarier
Touché très jeune par la pensée de Blaise Pascal selon laquelle « la vie n’est bonne qu’à étudier et à enseigner les mathématiques », je me suis passionné pour cette discipline dès le collège dans l’espoir de pouvoir l’enseigner un jour. Au cours de mes études et pendant mes premières années d’enseignement, je n’avais guère le compas dans l’œil. J’ai donc commencé par me perdre aux quatre coins de l’Hexagone puis, avant de perdre tout sens de la géométrie, j’ai posé par hasard ma règle et mon équerre dans le collège Ambrussum de Lunel dans l’Hérault.
Les dix dernières années passées dans cet établissement m’ont permis de démontrer que l’équation : équipes soudées + élèves très attachants avait pour résultat un grand plaisir d’y exercer mon métier à leurs côtés.
Les dix dernières années passées dans cet établissement m’ont permis de démontrer que l’équation : équipes soudées + élèves très attachants avait pour résultat un grand plaisir d’y exercer mon métier à leurs côtés.