
Laurine Descollonges
Professeure certifiée d’Histoire-Géographie-EMC, enseignante en section européenne (DNL Anglais). Formatrice au groupe de ressource disciplinaire Histoire-Géographie de l’académie de Lyon.
Dès l’enfance, j’ai contracté le virus de l’Histoire ou plutôt celui de l’Antiquité : mythologie gréco-romaine, égyptienne et déchiffrement de mes premiers hiéroglyphes m’occupaient pendant des heures. Cependant, moi qui n’étais pas une habituée des musées, c’est avec la visite d’un chantier de fouille d’une nécropole mérovingienne en 6e que j’ai pris conscience de la réalité matérielle des civilisations passées. Comme pour beaucoup, c’est ainsi l’École qui m’a ouverte les portes du monde et du savoir. Depuis cette visite, l’archéologie est alors devenue une passion. C’est tout naturellement vers ce domaine que je me suis dirigée après l’obtention de mon baccalauréat. Je me suis alors inscrite à l’université de Strasbourg qui m’offrait la possibilité d’une spécialisation en Archéologie dès la première année de Licence. D’abord tournée vers l’Egypte, je me suis ensuite orientée vers la Jordanie, où se trouve la capitale de l’ancien royaume nabatéen, Pétra. À la suite de mon Master 2, j’ai passé deux années enrichissantes à l’Institut français du Proche-Orient à Amman dans le cadre d’une allocation de recherches.
Toutefois, l’accompagnement des jeunes m’a manqué lors de ce séjour à l’étranger. En effet, dès ma première année de Licence, j’avais été surveillante, assistante pédagogique ou enseignante vacataire en collège et en 3e « prépa pro ». À mon retour d’Amman, j’ai retrouvé ce contact avec le milieu scolaire. J’ai ainsi été assistante pédagogique, auxiliaire de vie scolaire (aujourd’hui AESH) puis enseignante contractuelle en collège dans l’académie de Lyon. Progressivement, devenir enseignante d’Histoire-Géographie-EMC est devenu une évidence. Je voulais m’engager au service de la réussite des élèves et transmettre ma passion de l’Histoire.
Dès l’enfance, j’ai contracté le virus de l’Histoire ou plutôt celui de l’Antiquité : mythologie gréco-romaine, égyptienne et déchiffrement de mes premiers hiéroglyphes m’occupaient pendant des heures. Cependant, moi qui n’étais pas une habituée des musées, c’est avec la visite d’un chantier de fouille d’une nécropole mérovingienne en 6e que j’ai pris conscience de la réalité matérielle des civilisations passées. Comme pour beaucoup, c’est ainsi l’École qui m’a ouverte les portes du monde et du savoir. Depuis cette visite, l’archéologie est alors devenue une passion. C’est tout naturellement vers ce domaine que je me suis dirigée après l’obtention de mon baccalauréat. Je me suis alors inscrite à l’université de Strasbourg qui m’offrait la possibilité d’une spécialisation en Archéologie dès la première année de Licence. D’abord tournée vers l’Egypte, je me suis ensuite orientée vers la Jordanie, où se trouve la capitale de l’ancien royaume nabatéen, Pétra. À la suite de mon Master 2, j’ai passé deux années enrichissantes à l’Institut français du Proche-Orient à Amman dans le cadre d’une allocation de recherches.
Toutefois, l’accompagnement des jeunes m’a manqué lors de ce séjour à l’étranger. En effet, dès ma première année de Licence, j’avais été surveillante, assistante pédagogique ou enseignante vacataire en collège et en 3e « prépa pro ». À mon retour d’Amman, j’ai retrouvé ce contact avec le milieu scolaire. J’ai ainsi été assistante pédagogique, auxiliaire de vie scolaire (aujourd’hui AESH) puis enseignante contractuelle en collège dans l’académie de Lyon. Progressivement, devenir enseignante d’Histoire-Géographie-EMC est devenu une évidence. Je voulais m’engager au service de la réussite des élèves et transmettre ma passion de l’Histoire.